Dectorists, c’est l’histoire de deux hommes avec un passe-temps très particulier : ils sont détectoristes, c’est-à-dire qu’ils cherchent à l’aide de détecteurs de métaux des trésors anciens.
Il semblerait que pour être détectoristes, il faille être membre d’un club de détectoristes rattaché à la fédération nationale qui délivre des licences. Il faut aussi une concession.
Et justement, celle de nos protagonistes sur le champ dans lequel ils ont trouvé (puis perdu) une pièce d’or arrive à sa fin.
Pour attirer sur eux la chance, ils décident de faire preuve de générosité et d’ouvrir leur concession à tous les détectoristes de la région, y compris, leur ennemis et rivaux. C’est donc une petite douzaine de détectoristes et quelques proches qui s’installent dans ce pré à vache pittoresque pour faire un barbecue et clôturer les recherches en beauté.
Et c’est très beau. Visuellement avec les images de la nature, les plans sur les pies, les arbres qui abritent des chauves-souris et aussi humainement avec des scènes pleines de sous-entendu sur la beauté du pardon, l’importance du soutien de la famille, de se reconstruire après un traumatisme (par contre, j’ai pas compris quel traumatisme).
Ce bel après-midi se termine sur les mots du président du club, grand spécialiste des boutons de fer commun à travers l’histoire, mais sans découverte majeur. Mais qu’est-ce qui tombe de ce nid de pie au dernier moment ? Je vous laisse vérifier (^_^)
Cool ! Oui, c’est très pittoresque. Très ode aux petits plaisirs de la vie et au quotidien de Messieurs et Mesdames tout le monde (bien que tous et toutes un peu atypique quand même).
Ça t’a donné envie de la regarder en entier ?
Bon et les acteurs, notamment les principaux, Mackenzie Crooke et Toby Jones sont très bons (je crois que les deux avaient joué ensemble dans Pirates des Caraïbes à l’époque).
Oui. C’est très doux. Pas de violence, pas de tension dans le genre de ce qu’on voit habituellement à la télé. Ça change et c’est très plaisant.